ludwig ou le crépuscule des dieux critique

Il n'y avait évidemment que Visconti pour réaliser un film pareil : une œuvre fastueuse aux décors magnifiques, aux cadres extraordinairement travaillés et totalement baroque jusque dans l'interprétation torturée que livre Helmut Berger dans le rôle titre. Tout le long il ne pourra pas trouver le bonheur parce-qu'il ne pourra pas être ce qu'il est. ... Critique-film est le site de tous les passionnés de cinéma et de séries TV. Lire ses 261 critiques, Suivre son activité Valérie Lemercier, Sylvain Marcel, Danielle Fichaud, De Découvrez des commentaires utiles de client et des classements de commentaires pour Ludwig ou le Crépuscule des dieux sur Amazon.fr. Visuellement très riche, à la mesure du goût du souverain. Lire la critique complète sur critikat.com Ludwig ou le crépuscule des dieux Luchino Visconti. Excentré mentalement, Louis II de Bavière est aussi excentré du cadre. Le film montre que le monarque était très amoureux d'Elisabeth d'Autriche qui s'avérait être sa cousine. Utile. "Ludwig ou le crépuscule des dieux" s'inscrit dans la tétralogie allemande que Luchino Visconti n'aura pu mener à son terme. Écartelé jusqu'à être déchiré par ce que lui demande un tel pouvoir, Ludwig ne fera que dissimuler sa nature. Lire ses 3 490 critiques, Suivre son activité Bande-annonce, séances cinéma, avis, critiques et offres VOD du film Ludwig ou le Crépuscule des dieux. Micro-critique de TaoChess. Helmut Berger qui quoique acteur médiocre se montre sous la baguette du maître tout simplement prodigieux. La musique est omniprésente au point d'en devenir insupportable. Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com. Je trouve qu'en cela Visconti tisse des thèmes très intéressants autour d'un personnage qui aurait besoin d'une fracture et sûrement d'excentricité en plus pour se sentir bien dans un monde entouré d'autant de conventions. 21 abonnés en oubliant ses obsessions ce qui lui aurait permis d’être plus universel. Mais il faut s'intéresser un minimum à l'histoire du souverain ou du pays pour apprécier le film dans sa juste valeur. Il doit être comme il le dit si bien un mystère pour les autres et pour lui-même. Le jeune Ludwig, à 19 ans, devient roi de Bavière. Ludwig ou le Crépuscule des dieux, 1ère partie, un film de Luchino Visconti | Synopsis : En 1864, Louis II a 19 ans lorsqu'il monte sur le trône de Bavière, royaume allemand encore autonome entre la Prusse unificatrice et l'Empire austro-hongrois. Je trouve qu'en cela Visconti tisse des thèmes très intéressants autour d'un personnage qui aurait besoin d'une fracture et sûrement d'excentricité en plus pour se sentir bien dans un monde entouré d'autant de conventions. Visconti utilise ici beaucoup le zoom, technique filmique difficile que le maître italien utilise avec brio. Ennuyeux...Long...Pompeux...Pas un chef d'oeuvre en somme !! Visconti laisse une oeuvre impressionnante derrière lui à défaut d'etre foissonante ou variée. À côté des œuvres que Visconti venait de réaliser (Ludwig, Mort à Venise, Les Damnés), la forme de Violence et Passion est plus tenue, pas totalement attaquée par le flou et l’informe. Lire sa critique, Suivre son activité "Ludwig ou le crépuscule des dieux" s'inscrit dans la tétralogie allemande que Luchino Visconti n'aura pu mener à son terme. Merci d'avance ! Visconti s’est crée un monde à lui à partir des ‘’Damnés’’, il s’y est ensuite enfermé ce qui n’est pas sans devenir lassant, je trouve cela un peu dommage car il aurait pu conserver définitivement son style Ludwig est un artiste, au sens du terme que lui donnait Thomas Mann dans ses oeuvres de jeunesse, c’est à dire un homme complètement submergé par son extrême sensibilité au monde. En bonus, vous trouverez également en bas de cet article, mes critiques de "Ludwig ou le crépuscule des dieux" et "Rocco et ses frères", deux autres chefs d'oeuvre de Luchino Visconti. Ce qui l'intéressait, c'était la beauté, le luxe, l'or, l'architecture du château de Versailles et les relations avec des hommes qu'il jugeait extraordinaires soit au niveau de la beauté physique soit à celui du génie artistique. Réédition de Ludwig – le crépuscule des dieux de Visconti, dont la version intégrale de 4h42 constitue la fresque clé du cinéaste italien. Les moments du solitude sont également bien présents. En effet, tout au long du film on s'attache à ce roi qui entreprend de trop gros projets, lui, si petit homme qu'il est. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute), oyons objectifs, si le film est un monument, il possède aussi des imperfections, il est tout de même permis de s'interroger sur sa longueur, sur cette volonté de ne rien gommer ou raccourcir. Sortie le 15 mars 1973. La durée carrément anti-commerciale importe peu grâce à l'histoire et à la mise en scène savamment orchestrées. avec: Helmut Berger, Romy Schneider, Trevor Howard. Gain de temps et économie d'argent sur le produit Ludwig Ou Le Crepuscule Des Dieux neuf ou d'occasion : que demander de plus ! Lire ses 2 101 critiques, Suivre son activité Film : Ludwig ou Le crépuscule des dieux ; Cinéma n°247-248 [juillet 1979] page 199, autre Film : Ludwig ou Le crépuscule des dieux ; Cinéma n°297 [septembre 1983] page 40, critique, article sur un film Auteur : CLUNY Claude-Michel Film : Ludwig ou Le crépuscule des dieux ; Écran n°15 [mai 1973] page 61, critique, article sur un film Dans ce film étonnant, Visconti explore, derrière le faste des costumes et des chateaux, un sujet qui l'a beaucoup occupé à la fin de sa vie : la place de l'artiste dans la société. Louis II de Bavière est couronné roi. Néanmoins, contrairement au 'Guépard' ou à 'Mort à Venise', il y a ici un soupçon d'âme et de coeur qui perce derrière les dorures : la fresque splendide devient portrait intime et touchant du roi Ludwig, mais aussi de Visconti lui-même, qui semble nous livrer son testament. C’est avec flegme que le cinéaste décortique le manège des corps dans une maison que l’on ne quittera jamais. L'histoire nous avait appris que Louis II de Bavière s'était suicidé aux alentours d'un hôpital psychiatrique dans lequel il séjournait, Visconti lui laisse planer le doute à cette mort, ceux qui verront le film comprendront pourquoi. Mais l'idée d'épouser un membre de sa famille était considéré comme tel et comme Sissi aimait son cousin, elle ne voulait pas l'entraîner dans cette spirale infernale. Le sous-titre du film, «le crépuscule des dieux», semble bien signifier que Visconti, comme dans Le Guépard, filme la mort d’un monde insouciant, un monde romanticisé à l’excès pour la bonne cause: un monde de poésie, de musique et de rêve qui disparaît au contact de la brutalité du monde et de l’égoïsme des hommes. Le sang à l'intérieur de son corps et qui le fait vivre ne sera perçu d'aucune personne tant il veillera à ne pas faire trembler en lui ce qui ronge son âme et ce qui l'anime. On y voit le roi errer dans l'immensité de ses palais vides, seul avec sa … Cary Joji Fukunaga, avec Tout le long il ne pourra pas trouver le bonheur parce-qu'il ne pourra pas être ce qu'il est. Hélas, son règne de vingt années, à l’issue tragique, va être une suite ininterrompue de déceptions… Fiche du film. Critiques, Note et Avis sur Ludwig - Le crépuscule des Dieux # Critiques Votes Note; Spectateurs US > lire les critiques: 1982 avis: 7.5 /10: Spectateurs FR > lire les critiques: 274 avis : 7.6 /10 : Note globale: 2256: 7.5 /10: Acteurs et Réalisateurs de Ludwig - Le crépuscule des Dieux. On se surprend à penser que l'homosexualité masculine sied même à ce monarque à démarche androgyne, les épreuves lui féminisent l'allure, il déraille, visage ramolli, dents de devant cariées ! Histoire de la chute du "plus beau roi d'Europe" et de la fin d'une Bavière indépendante, "Ludwig" est un monument qui reprend le titre de la dernière journée du Ring, "Le Crépuscule des dieux". Pas besoin d'être au courant de l'histoire allemande de cette époque pour apprécier ce film, qui se concentre surtout sur le portrait psychologique de son rôle-titre. Ludwig - Le Crépuscule des dieux; Critiques; Avis de abarguillet; Avis sur Ludwig - Le Crépuscule des dieux par abarguillet . A l'inverse de ses oeuvres habituelles, le metteur en scène ne fait jamais preuve d'aucune audace et exécute platement un scénario très dense, construisant visuellement son film autour de qualités techniques certes indéniables mais qu'il a déjà exploité à maintes reprises, à la différence près qu'il n'y avait cette fois pas de variantes, d'améliorations comme dans ses précédents chefs-d'oeuvre. Luchino Visconti nous montre un homme sincère, rêveur, franc, sensible à la beauté des arts et particulièrement celui de la musique. Ludwig | 1973 | 237 minutes | Couleur. Politique de cookies | Magnifique film. Ludwig ou le Crépuscule des dieux, un film de Luchino Visconti | Synopsis : L'univers baroque et fastueux de Louis II de Bavière. Découvrez les films de la même licence ou similaires. ), images (ces paysages neigeux nocturnes, inoubliables !!! Dans tous les cas, je n'arrivais pas à accrocher au personnage principal. Lire ses 5 632 critiques, Suivre son activité Critique. 57 abonnés C'est un être plein de bonnes intentions et de rêves enthousiastes qui souhaite s'entourer de conseillers émérites et de célèbres artistes. Lire ses 2 101 critiques, Suivre son activité La dernière heure est la plus intéressante, le roi devenant fascinant à force de mégalomanie et de paranoïa et sa chute étant montrée avec une force rare. Cary Joji Fukunaga, avec Avec "Ludwig", Visconti, diminué livre un chant du cygne impressionnant par sa maîtrise totale. Helmuth Berger est magistral ; il joue avec toute son âme. Ludwig ou le Crépuscule des Dieux: ... Titre original: "Ludwig". Recrutement | "Ludwig" est l'un des meilleurs films de Visconti avec "Il Gattopardo" et "La Terra trema". Dans un constant balancement entre rêve et réalité... Là où il faudrait se frotter les yeux en basculant du terre-à-terre au fantastique, Visconti trouve la fluidité... Il y a des ruptures à l'image, eh bien soit, on bascule, confiants puisqu'il y a aussi cette malice (grognement du monarque, mimique du comédien tenu à l'amuser sans dormir) qui annonce qu'il s'agit d'une fiction et qu'on va en avoir pour son argent. Lire ses 3 747 critiques, Suivre son activité Avec un luxe de détails, Visconti montre tout l'apparat de façade qui entoure le jeune Ludwig et l'amène à céder à tous ses penchants qui le poussent davantage vers un génie comme Richard Wagner (remarquable Trevor Howard) non dénué d'arrières pensées mercantiles que vers les enjeux géopolitiques qui se jouent en Europe centrale sous l'égide du chancelier de Prusse Otto Von Bismarck bien décidé à annexer le petit royaume ( ce qu'il réussira à faire suite au conflit de 1870). 480 abonnés Si le film est fascinant, il n'en souffre pas moins de ses quelques longueurs et du cabotinage assez poussé de Berger. Sa "tristesse obscure", aurait dit Racine, rejoint Néron aussi bien que le Louis XIII de Victor Hugo dont il chante les vers. Si c'est dommage, c'est loin d'être décevant, bien au contraire même tant Visconti démontre à nouveau toute sa maîtrise derrière la caméra, sachant rendre intéressants les personnages et enjeux et surtout en faire ressortir la complexité et la richesse, peignant des portraits forts. 659 abonnés Visuellement, le film est une splendeur, sans virer à l'académisme. Les comédiens ont une charge émotionnelle intense et sont tellement investis par leurs passions que le jeu disparaît : c'est vrai. 4,3 ... Il existe bien un Blu ray allemand avec langue et sous titres allemands, mais, si l'on en croit les critiques et les avis des acheteurs outre Rhin, d'une qualité médiocre (image passable, mais son catastrophique, parfois désynchronisé, avec un souffle important) En lire plus. 57 abonnés Revue de presse | Belles apparitions de Romy Schneider belle et rayonnante. 25 abonnés Elle s'étire avec une lenteur parfois exaspérante sur près de quatre heures sans raconter énormément de choses. J'imaginais que ce roi était un doux rêveur et non un odieux fantasque comme tend à le montrer le film ; mais peut-être la réalité historique est-elle plus proche de film. Enfin j'ai réussi à mettre la main sur la version allemande de près de quatre heures que j'avais vu il y a des années de ce chef d’œuvre. Retrouvez les 42 critiques et avis pour le film Ludwig - Le crépuscule des Dieux, réalisé par Luchino Visconti avec Helmut Berger, Romy Schneider, Silvana Mangano. Publicité | Le septième art n’y aurait rien perdu et les spectateurs d’aujourd’hui seraient plus nombreux. Peut-être que je surinterprète, mais je pense que c'est cela que le réalisateur a voulu viser et critiquer: tous les Hommes sont amenés à se ressembler et ceux qui sont différents doivent rendre invisible la différence pour pouvoir s'intégrer. Lisez les critiques des autres amis... Tout ce qui dit du bien de cette merveille a raison. Ce qui fait que c'est autant une réussite totale en tant que portrait clinique d'un homme qui est loin d'avoir révéler tout son mystère qu'en tant que fresque historique crépusculaire. Helmut Berger semble quant à lui littéralement habité par le rôle-titre et l'attention du spectateur n'est jamais totalement perdue, mais cette fresque historique reste une déception, nettement en-dessous de "Barry Lyndon", auquel on ne peut s'empêcher de penser. Aberration d'autant plus grande que mise à part Silvana Mangano aucun italien n'a un rôle important dans ce film et que Visconti était plus à une période où il se réclamait des Mahler, des Schumann, des Wagner bien sûr et des Thomas Mann que des Verdi ou des Rossini. Visconti dresse ici le portrait d'un jeune roi rêveur, amateur d'opéra et plus particulièrement Wagner, s'inventant des mondes imaginaires mais semblant tout le temps en décalage avec la réalité et la vie autour de lui. 424 abonnés Ludwig pour se faire aimer et pour asseoir son autorité doit lui même effacer tout ce qui en lui ne ressemble pas à tout le monde. En 1864, le jeune monarque est âgé de 19 ans lorsqu'il monte sur le trône. Reste le portrait total et superbe d'un monarque qui n'a jamais su trouver sa place dans son époque, à l'image du noble que fut lui-même Visconti. Sinon, on prendra cela pour frénésie et folie. À voir chez vous. Lire ses 3 448 critiques, Suivre son activité Que des éloges..... On est pris à la gorge, éberlué tant une telle qualité s'est raréfiée en salles ! Souvent beau par le fond, le film l'est aussi dans la forme avec quelques plans magnifiques,sublimant les lieux (Neuschwanstein ressemble ici à un rêve sorti d'un conte de fées), donnant une ambiance prenante et parfois fascinante et onirique et une maîtrise totale de Visconti derrière la caméra. Lire ses 31 critiques, de Recrutement | Helmut Berger est à la fois inquiétant et touchant. Il faut avouer que tomber amoureux de Romy Schneider dans la peau d'Elisabeth n'est pas un acte fou. D’Jal, Sarah Perles, Pierre Azéma. Télérama La critique par Pierre Murat Genre: Pour en savoir plus sur ce blog et sur Sandra Mézière: Bande-annonce Ludwig – Le crépuscule des Dieux. La fin (la mort de Ludwig) reste assez mystérieuse. 64 abonnés Par contre, le film est beaucoup trop long. L'équipe de Chacun Cherche Son Film. Il doit être comme il le dit si bien un mystère pour les autres et pour lui-même. La même image colorée, la distribution quasi-identique, etc... "Ludwig" est une belle oeuvre, qui fait parfois poindre une once d'optimisme aussitôt rattrapée par le pessimisme inéluctable de Visconti. Lire ses 59 critiques, Suivre son activité Mes favoris Historique. 79 abonnés Je pense que Visconti au-delà de montrer un Homme qui rends son âme invisible pour pouvoir préserver son pouvoir a voulu représenter une réalité du monde qui est de ne pas s'avouer soi-même pour pouvoir paraître suffisamment normal pour se faire des amis. Ses thématiques à base de mort, de solitude et de dégénérescence le sont aussi. 1986 abonnés Le chef-d'oeuvre de Visconti à amener sur l'île déserte. Découvrez des commentaires utiles de client et des classements de commentaires pour Ludwig - Le crépuscule des dieux sur Amazon.fr. Et s'il est vrai que cette oeuvre est d'une immense beauté esthétique, avec certains plans semblables à des tableaux, elle n'en reste pas moins beaucoup trop longue. mardi 13 décembre 19h Curial cinéma durée 3h50. La seule facilement disponible jusqu'ici était l'italienne mais franchement quelle aberration d'entendre Louis II de Bavière et Élisabeth de Wittelsbach parler la langue de Dante entre eux. On voit même fonctionner sa table rétractable dans le sol, c'est magique. Un chef d'oeuvre... Calme, doux, apaisant. Les acteurs sont très bons, costume et décors idem. Se retrouvant physiquement diminué suite à un accident vasculaire cérébral survenu pendant le tournage de Ludwig, Visconti parviendra tout de même à réaliser encore deux films : Violence et Passion et LInnocent. Italie - France - Allemagne Réalisé par Luchino Visconti 3h57 avec Helmut Berger, Romy Schneider, Trevor Howard. Ce n'est clairement pas le meilleur film de Luchino Visconti. 424 abonnés année 1973. nationalité Italie, Allemagne de l'Ouest, France. La fin de la carrière de Visconti semble moins connue et moins appréciée que le reste de son œuvre. D'une puissance dramatique qui n'a pas besoin de combler chaque plan par une hyperactivité spectaculaire. Et aussi ennuyeux et peu attrayant. Visconti qui n'aime rien tant que ces destins brisés face à la grande histoire qui lui rappellent le déclin de sa propre famille et à ce moment précis, sa propre déchéance physique (il mourra à peine quatre ans après la fin du tournage), se plait, se complait diront certains, à lentement défigurer son jeune amant. Ludwig est un film pas terrible de la part de Luchino Visconti. Déphasé, il ne veut pas vivre avec son temps, ce qui inscrit le film dans une certaine filiation avec Le Guépard (à ceci près que le Prince Salina du Guépard était lucide et maitre de lui-même ce qui n'est pas le cas de Ludwig). Visconti qui n'aime rien tant que ces destins brisés face à la grande histoire qui lui rappellent le déclin de sa propre famille et à ce moment précis, sa propre déchéance physique (il mourra à peine quatre ans après la fin du tournage), se plait, se complait diront certains, à lentement défigurer son jeune amant. Recommandé parBertrand Bonello, Park Chan-wook, Clément Cogitore. Retrouvez toutes les informations sur Ludwig - Le crépuscule des Dieux sorti en 1972 : casting complet, acteurs, scénariste, réalisateur. Visconti avait à mon sens ici pété les plombs, délaissé la création pour le gigantesque, refilant la nausée à un spectateur s'ennuyant souvent devant des scènes beaucoup trop explicites, manquant de finesse et de subtilité, comme l'ensemble d'une oeuvre terriblement convenue et académique dans son traitement. Critique de Ludwig - Le Crépuscule des dieux par abarguillet. J'imaginais que ce roi était un doux rêveur et non un odieux fantasque comme tend à le montrer le film ; mais peut-être la réalité historique est-elle plus proche de film. Envoyer le sujet par e-mail; Imprimer le sujet; Ludwig ... ou le Crépuscule des Dieux [Film] 11 messages • Page 1 sur 1. Gagarine, The Nest, Falling, Suivre son activité 24 Références. Bandes annonces Critique de Ludwig - Le Crépuscule des dieux par Reureune. Jeux concours | Dans cette quatrième partie, nous développerons la thématique des relations entre le cinéma et la peinture à partir d’un ordre chronologique et historique, depuis les origines du cinéma abstrait jusqu’à la manière dont les piscines de David Hockney ont été transposées sur le grand écran. Préférences cookies | Enfin, pour qui préfère le subtil au sensationnel, fonctionne, peu avare sur la marchandise savamment déballée dès lors qu'elle embarque en douceur. Je suis mitigé sur l'histoire, très riche (il suffit de voir la durée du film), mais je ne suis pas complètement convaincu du traitement du personnage de Ludwig. Italie - France - Allemagne Réalisé par Luchino Visconti 3h57 avec Helmut Berger, Romy Schneider, Trevor Howard. Silvana Mangano Cosima Von Buelow. Le voir ainsi rejeté forme en nous le sentiment de pitié. Tobias Dunschen-20 août 2019 0. Lire ses 1 580 critiques, Suivre son activité Lire ses 4 639 critiques, Suivre son activité Albert Dupontel, avec Dommage que pour les scènes autour de Neuschwanstein (le nom signifie en gros "nouveau rocher du cygne" et fait référence à Lohengrin, Louis II faisant apparemment une fixette sur cette oeuvre, puisqu'il appelle Sophie "Elsa", nom d'un des personnages de cet opéra) soient illustrées par une mélodie issue d'un autre opéra (Tannhäuser) qui n'a rien à voir. Le jeune Ludwig, à 19 ans, devient roi de Bavière. Il était inévitable que la grandeur baroque de Louis II de Bavière ne croise pas celle de Luchino Visconti, il était inévitable que ce même Louis II de Bavière ne soit pas incarné par Helmut Berger dont la ressemblance physique avec son modèle est très troublante, et il était inévitable que Romy Schneider ne joue pas enfin une vraie Sissi à mille lieues de celle rose bonbon tête à claques dont une réplique sur deux est de dire d'un air énamouré "Oh Franz !". Le film commence après le titre sans générique de début, je ne sais pas si c'est d'origine ou pas, faute d'avoir vu le film autrement qu'avec cette copie. Bref on a vraiment l'impression en visionnant cette oeuvre que Louis II et Sissi ont vécu juste pour que Luchino Visconti en fasse un jour un film. Et un mariage parfait avec la musique de Wagner. Lisez des commentaires honnêtes et non biaisés sur les produits de la part nos utilisateurs. Critique. Courte-Focale.fr : Critique de Ludwig Ou Le Crépuscule Des Dieux, de Luchino Visconti (Italie, France, RFA - 1973) En ce sens, aucune dérogation ne doit se faire, il faut être aussi ennuyeux et peu vivants que toute ces personnes autour. Leur philosophie est intéressante. Qui sommes-nous | La métamorphose du roi au fur et à mesure du déroulé de la pellicule est saisissante tant du point de vue physique que mental. Bizarrement il partage pas mal de points communs avec l'un de ses moins bons : "La Caduta degli dei". 118 abonnés Les plans sont d'une beauté impeccable. Lire ses 525 critiques, Suivre son activité Peut-être que je surinterprète, mais je pense que c'est cela que le réalisateur a voulu viser et critiquer: tous les Hommes sont amenés à se ressembler et ceux qui sont différents doivent rendre invisible la différence pour pouvoir s'intégrer. Hélas, son règne de vingt années, à l’issue tragique, va être une suite ininterrompue de … La profonde mélancolie de Ludwig, ce haut Roi romantique, est poignante de poésie. 242 abonnés Copie restaurée numérique. Daniel Craig, Rami Malek, Contact | oyons objectifs, si le film est un monument, il possède aussi des imperfections, il est tout de même permis de s'interroger sur sa longueur, sur cette volonté de ne rien gommer ou raccourcir. Ludwig ou le Crépuscule des dieux. Index du forum Critiques des internautes. Critiques; Agenda; Communauté € Ludwig ou le Crépuscule des dieux; Il semblerait que vous utilisiez un bloqueur de publicités : nous respectons cela. Ludwig est un film pas terrible de la part de Luchino Visconti. Certains dialogues sont trop écrits. Jean-Paul Rouve, Isabelle Nanty, Claire Nadeau, Avec Contactez-nous: contact@critique-film.fr Pas une seule ride en 2012 ! Et aussi ennuyeux et peu attrayant. Le costumier italien Piero Tosi est décédé le 10 août à Rome. Critiques Éditos Seal of Quality Cinéma Série TV Critiques Éditos Seal of Quality Série ... Cinéma; Ludwig - Le crépuscule des Dieux Ludwig - Le crépuscule des Dieux (Ludwig) 1973. réalisé par: Luchino Visconti. Faites vous une idée du film grâce à la note des membres et aux critiques des internautes. Je veux bien croire que la vie de Ludwig de Bavière est fascinante, mais ça ne mérite pas quatre à cinq heures de visionnage (c'est de la folie, d'ailleurs aucun film ne devrait mériter une telle durée). Avant de se taire dans la nuit du lac, sans ses cygnes, Ludwig reste ce mystère, pour lui et pour les autres ; car Visconti ne délivre pas une simple leçon historique. Retrouvez toutes les informations sur Ludwig - Le crépuscule des Dieux sorti en 1972 : casting complet, acteurs, scénariste, réalisateur. 1973. Noble lui-même, Visconti était sans doute le seul capable de rendre le faste de la cour de Bavière au temps de Louis II, son dernier roi, incapable de comprendre les mutations induites par la Révolution Industrielle et se croyant encore au siècle des Lumières où les monarques tel Louis XIV (Louis II était très francophile) étaient encore bâtisseurs de châteaux. 1690 abonnés Un genre marqué par l'empreinte de Visconti et qui n'a toujours pas trouvé d'héritier à sa hauteur. Lire ses 4 153 critiques, Suivre son activité

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