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histoire de la guinée forestière

histoire de la guinée forestière

Similar Items. Petit poucet Kpellé, il monta sur un arbre et vit non pas une lumière mais une fumée vers laquelle il se dirigea. Enfin et évidemment, la Guinée Forestière est une zone privilégiée de l'exploitation du bois. Il dut également établir un hameau de culture dans la région de l’actuel Teheouon. Fin XIXe siècle était institué une colonie agricole à la ferme de la Chalmelle dont la plus grande partie des travailleurs venait des refuges de nuit et des établissements de l'assistance publique de Paris. Un frère de Kassié, Zougo, également petitfils de Taa Monlé était demeuré à Manota, il quittera ce village pour créer Zougueta. De Ouéta le clan G’Bili se répand dans l’Ourapeulé à Koeplita, Péninzou, Galaye, Péla, de Péla il gagne l’Ounah (G’Baole) et le Niékolé. Seulement, l’insécurité régnait dans cette partie d’Afrique. Association humanitaire pour la guinée forestière. Les autres cantons Kpellé profitèrent de l’occasion pour se jeter sur le Boo. Guiéta qui n’existe plus aujourd’hui, se trouvait entre Soota et Bangoueta sur une colline située entre les rivières Bélé et Guéya. Les trois autres fils demeurés à Palé firent souche: de l’un d’eux sortit la famille des chefs de village et d’un autre celle des chefs de canton. Lorsqu’il écrit que les Kono ne sont pas des forestiers et qu’ils ne sont qu’une branche détachée des Mandé, il faut entendre que la dernière vague a été constituée de Mandé mais que loin de trouver la forêt vide jusqu’au Nimba, elle s’est incorporée aux premiers habitants (avec toutes les restrictions nécessaires sur ce terme de premier) Dan, Manon et aussi le verrons-nous, Guéré ou Geh. On voit à quel point le peuplement de ces régions est instable, de continuels mouvements nord-sud, est-ouest, sud-nord, ouest-est amènent un brassage permanent de la population. Guinée: la CNUF et la diaspora forestière vont soutenir un candidat de consensus pour une alternance. Introduction 1. Son fils Dan Zomia lui succéda, mais il mourut foudroyé et fut remplacé par son fils Goïgho qui a la réputation d’avoir été grand féticheur de la forêt sacrée. De la guerre civile à une alternance politique gâchée (1998-2005).....17 III. Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Enfin la création du village de Guéoué à côté de Tonon est le fait d’un cinquième fils, Foumbé Bouaké. Les alliés poursuivant les fugitifs brûlèrent G’Bei sur l’autre rive du Mani, mais les Manon du Libéria se coalisèrent et battirent Kpellé et Toma : beaucoup de vaincus se noyèrent en traversant le Mani à la nage. L’original est que cette confédération regroupait des cantons de population différente avec des liens plus ou moins lâches, mais aussi bien Kono que Manon ou Kpellé et même Dan ainsi que nous le verrons dans la troisième partie de ce chapitre. La femme de celui-ci allait accoucher, Zoho Missa la soigna et en récompense reçut la permission de s’installer près de là. Le chef du clan Dela était Foningaman ; il envoya son fils Koninia Yananan reconnaître dans la grande forêt du sud un lieu propice à la fondation d’un vinage. Les premiers eurent la chefferie guerrière et politique tandis que les seconds restaient les maîtres de la terre. Avant que le clan Kolié ou Honone quitte la savane, l’ancêtre des chefs du Tonalé, Bitien, était porte-sac de Togba. Op. Ainsi Oulo ne serait qu’un hameau de Ouétoa : de Missadougou, un nommé Zoria Bonian Boomou aurait été chassé par la poussée musulmane et serait venu fonder Ouétoa dans le Boo nord. Située dans la partie sud du pays, cette région couvre une superficie de 37 653 km² et partage les frontières internationales avec la Côte d’Ivoire à l’Est, le Libéria au Sud et la Sierra Leone à l’Ouest. Il faut croire que la première migration n’affecta pas le clan Téa dans sa totalité, car on signale une deuxième fraction de ce même clan venue de Missadougou, s’installer à Guiéta postérieurement à la fondation de ce village. Il trouva une jeune fille qui lui donna de la nourriture et l’emmena chez son père à G’Banhié, lequel offrit une large hospitalité à l’étranger, très large même puisqu’il le logea dans la case de sa fille. Op. Le passage à Guiéta et l’établissement à Moata d’une fraction du clan Kolié, Hono conduite par Vala Kolo Bila, attira d’autres groupes du même clan dans Tonalé. Nzérékoré, l’Evangile en forêt guinéenne. En fait de gris-gris, il utilise la force et Dombo, chef du Boo, doit se mêler de cette affaire qui dégénère en une guerre intéressant toute la région. Les guerres les plus importantes eurent lieu contre les Kono de Lola et de Sinzou (Karagoua), les Kpellé de Gouecké et surtout contre les Toma de N’Zebela Togba et les guerriers de Ouolo Koly, chef de Galaye (Ourapeulé) soutenu par ses alliés de Bignamou et Haoulo dans le Niékolé. De Zan elle ira créer Douzou. Mingoura ayant donc repris la route du nord-est, s’arrêta à l’emplacement de Mingouraba devenu par la suite Koatei (source du Koa) et que l’on connaît sous le nom kpellé de Kotozou. Il y a de fortes chances pour que ce soit là les restes des habitants primitifs de Manota et de Zon qui ont plus ou moins abandonné leurs noms d’origine. Il exerce toujours cette fonction assisté, étant donné son âge avancé, d’un de ses fils, Kaman Bamba ». Il est difficile pourtant de savoir s’il est le premier habitant au sens absolu du terme, ou s’il est le premier occupant kpellé. Une fraction du clan Kolié, sous la direction de Soulou Kolié, venue de Yarakolita (cercle de Beyla) par Boala, Ouinzou et Goueeké prend la chefferie du village de Bangouéta. G’Banda Niankoly Koutou, Boomou de Donhouéta, est le fondateur de Yoa qui s’augmenta de l’apport du clan G’Bala venu de Donhouéta avec Holomo Dooui, lequel était un guerrier au service de Tésilé, guerrier de Bamakaman. On signale ensuite Sanahouo à Gottoye, Komou et Vanhian (où l’on montre la trace de sa chaise, de son doigt et de sa main sur le rocher). B. Holas a bien marqué dans la légende concernant le peuplement du Vépo l’origine Manon d’une partie des habitants 112 et dans celle concernant le peuplement du Saouro l’origine Dan des habitants de celui-ci (plus précisément à notre avis la partie qui a été rattachée au Saouro et qui s’appelait le Nana). Mais Mouon ne connaissait pas le fusil et c’est l’absencede cette arme qui rendait les gens de cette époque si craintifset les panthères si redoutables. cit., p. 19. Son fils Bono avait envoyé sa soeur en mariage à N’Zabyaye, celle-ci revenant voir ses parents cassa la gourde qu’elle avait sur elle et l’eau qui se répandit donna naissance (sic) à la rivière Hakonélé-Ya (l’eau-que-boit-ta-sœur) qui se jette dans l’Oulé. Son fils Magona aurait créé un village de culture sur l’emplacement du futur G’Balo (canton de Boo). Dans le Yanialeye et le Sonkolé, le maître de la terre est le clan Boma. Kababachir - Portail de la communauté guinéenne. Sur le site Mapcarta, la carte libre. Mais réduire les Dzogota-bla aux clans Yomaet Togba nous semble hasardeux car le clan Yoma, maître de la terre, n’est peut-être pas Mandé, en tout cas il serait Mandé archaïque (il ne connaissait pas les armes à feu à l’arrivée du clan Togba) et le clan Togba se donne une origine Guéré ou Geh. Les différents clans que nous avons vu émigrer du cercle de Beyla vers le cercle de Nzérékoré se sont ensuite mélangés et il a fallu l’occupation française pour arrêter ce brassage qui rendait si instable le peuplement de la région. La poursuite d’un animal blessé l’entraîna loin vers le sud. You may have already requested this item. A cet aspect complexe du peuplement, il faut ajouter une autre caractéristique, celle de sa mobilité : même sur une période relativement courte, les groupements sont en mouvement perpétuel, les villages sont construits et détruits, changent d’emplacementet nombre de ceux que nous citons n’existent plus. Un nommé Haran quitte Missadougou et séjourne à Tono Oumou (région de Touba) et Pogua, puis fonde Harana. Polon : stage d’initiation en « forêt dite sacrée ». Deux de ses fils Zéka et Séba allèrent fonder l’un Lonhoui (dit Lomou en kpellé), l’autre G’Balimou dans l’actuel canton de Bossou d’où une fraction gagne Moata dans le Tonalé. Le clan N’Zebela se retrouve à Niaragpalé, Pampolé, Zohouta dans le Souhoulapeulé, Nionta, Togbata Niampola, Niéma dans le Moné, à Zohota et Mabouan dans le Zohota, à Péla, Koeplita et Péninzou dans l’Ourapeulé, à Zouéta dans l’Ounah. Postérieurement à l’arrivée du clan Lola, le clan Fahan quitte le Konian conduit par Taa Monlé il traverse le Karagoua et se fixe à Manota où naîtra Kassié le petit-fils de Taa Moulé. programme de recherche agronomique spécifique (par exemple, le café en Guinée Forestière ou le coton en Haute Guinée). Related Subjects: (3) Guinea -- History. Pour rendre vraisemblable l’origine que se donnent les habitants de Danye, il faudrait supposer que ce même clan Molou a continué vers le sud-ouest mais aucune légende ou tradition ne permet de faire une telle supposition. C’est lui qui venu du pays Dan par Zouo et Tonkaran fonda Bouan qui plus tard devint Bossou, du nom du guerrier Kono : Bossoucoura. On rencontre encore bien d’autres clans en pays manon, nous n’avons voulu étudier que l’arrivée des principaux. Toutes les légendes recueillies dans la région Kono et Kpellé font venir tous les clans rencontrés des savanes du Konian et de celles du G’Banhana (Mahana). Enfin des Delanwã de Galaye est issue la famille de Ouolo Kolyqui a laissé la réputation du plus grand guerrier de la région.L’Ounah qui était plus ou moins sous la dépendance de l’Ourapeuléétait commandé par Oni, père du chef Yagourou au pouvoir en 1948.A sa mort, c’est son fils Kolokoli qui lui succède et voit arriverles français. Il vint de Pampolé dans le Souhoulapeulé et fut d’abord l’hôte des Boonwã, un emplacement lui fut donné pour construire un village et la soeur du chef Boomou épousa le chef G’Bilimou et un certain nombre de ses membres descendit l’Oulé jusqu’à Tamou dont il ne reste plus que des ruines aujourd’hui : le chef G’Bilimou épousa une femme de ce village puis vint à Booué où le suivit tout Tamou. Donhouéta aurait été un village de culture détaché de l’ancien G’Banhié. Please select Ok if you would like to proceed with this request anyway. Les descendants de Malawaga sont aujourd’hui les chefs du Toffaleye. Avant d’entrer dans le Souhoulapeulé le clan K’Poouna aurait peuplé une partie du Toffaleye-sud (Nehen-Konvé-Kaloba-Sobada) puis il se serait établi à Oueye, Yaragpala, Niaragpale, Pampole, s’unissant aux autochtones pour créer ces villages dont il devient le chef. More info about Linked Data. Le clan Sa part de Sã, village libérien et se fixe à Nyan et Bouan ainsi que dans un hameau aujourd’hui disparu, Vei, d’où il va s’installer à G’bélé puis G’Bénéoui. Celui de Gottoye se nommait Siaman Gotto, il venait de Ouyéyé dans le Souhoulapeulé en passant par Ouétoa et Vanhian. cit., p. 23. Les lignes qui suivent sont extraites de la communication du Directeur national du service forestier lors de la table ronde de la LPDA à Conakry en décembre 1991.. 1. Deux autres clans viennent maintenant par ordre d’importance, ce sont les clans Sin et Gonon. VI, p. 187. Il étendit son empire vers le Nord jusqu’au Fakouroudougou en direction des Konianké et jusqu’à Morigbadougou en direction des Mahouka. 112. B. Holas. On ne peut dire non plus que c’était une aristocratie de Djallonké qui gouvernait le pays, mais un clan étranger, Geh ou Guéré dit-on, venu sous la direction d’un nommé Togba ou Tokpa porter secours aux premiers habitants appartenant au clan Yoma. Puis à l’aide de ces fiches de village, une fiche récapitulative a été dressée pour chaque clan avec indication des interdits, éventuellement des diverses branches du clan, du ou des villages dont est issu le clan, des villages qu’il a créés ou peuplés, enfin des événements auxquels le clan a été mêlé. Il étendit son autorité sur le canton de Yanialeye (Samoé, G’Bili, Guéla, Konala, G’By, Ouinzou, Koulé, Duola), qui devint son vassal. Le quatrième, Yaké, eut deux fils, G’Banan et Yamalo, et le fils de ce dernier, Gono, fonda Gonota. Une région \" refuge \". Le deuxième clan serait le clan Boo, sa migration est très importante pour les pays entre Oulé et Diani et même pour ceux compris entre le pays manon et l’Oulé, car des fractions d’autres clans l’accompagnaient : G’Ban — G’Bilé — Niampala — Moné. Le confluent est un lieu sacré pour les Boonwã qui y font des sacrifices. Il eut aussi des filles. Pris comme dans un étau entre les Kpellé du Niékolé, du Ounah, du Boo, de l’Ourapeulé, d’une part, les Manon du Libéria d’autre part, le G’Benson était voué à la disparition en tant que groupement politique sans l’arrivée des français. B. Holas. Falikaman aurait donné en mariage sa fille, Maynambony, à Mori Konaté, un marabout étranger (probablement Soninké) qui introduisit l’Islam dans le Konian, et c’est sur la tombe de cette fille qu’aurait été construite la première mosquée. Une fraction Gou ira s’installer à Mananko dans le Béro en passant par Didita et Sébélokouta ; une autre dirigée par Soulou Nogoli traversera le Gouan par Kéoulenta où il laissera des éléments et ira fonder Gou dans le Tonalé ; dans ce canton il s’installera à Batouata, Bangouéta, Démon, Oueya, Galapaye. Une fraction du clan kpellé G’Ba vint s’unir à elles et ensemble ils donnèrent naissance au village de G’Bala. Related Subjects: (6) Equatorial Guinea. 69-81). On sait que la fondation de Oulo fut le fait du clan Boo mais lorsque les guerriers de Kaman Kékoura menacèrent le village, le chef Ouassilé dut faire venir un guerrier du nom de Goulazoho G’Bolonghan du village de Soulouta dans le Gouan. Lorsque le chef de Galapaye est malade, on offre des colas au sac soigneusement conservé. Un nommé Lama Douo (ou un de ses ancêtres, Koligbon) crée le village de Palé et y a quatre fils qui se disputent après sa mort. La fraction établie à Galapaye et Bangouéta a été amenée en captivité au temps des guerres contre N’Zzébéla Togba. Cette subdivision de notre histoire forestière récente (on pourrait remonter plus loin) en deux ères forestières et avec l’année 1960 comme date-charnière ne représente que mon interprétation.

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