Carpe Koï Rare, Sac à Main écologique, Grand Festin Mots Fléchés, Psychologue Connu Actuel, Sainte-anne La Palud Pardon, Plage Ses Salines Majorque, Réussir Ses Partiels En Droit, En savoir plus sur le sujetGo-To-Market – Tips & tricks to break into your marketLes 3 défis du chef produit en 2020 (2)Knowing the High Tech Customer and the psychology of new product adoptionLes 3 défis du chef produit en 2020 (1)" /> Carpe Koï Rare, Sac à Main écologique, Grand Festin Mots Fléchés, Psychologue Connu Actuel, Sainte-anne La Palud Pardon, Plage Ses Salines Majorque, Réussir Ses Partiels En Droit, En savoir plus sur le sujetGo-To-Market – Tips & tricks to break into your marketLes 3 défis du chef produit en 2020 (2)Knowing the High Tech Customer and the psychology of new product adoptionLes 3 défis du chef produit en 2020 (1)" />

évolution de la consommation d'énergie dans le monde

évolution de la consommation d'énergie dans le monde

De façon plus précise, on peut chercher à mesurer comment les variations à court terme (d’une année à l’autre) du PIB influencent la consommation finale d’énergie dans les pays de l’OCDE. Des études économétriques montrent que les variations à court terme du PIB n’expliquent que la moitié de la variation de la consommation d’énergie. Ces statistiques prennent en compte l'énergie solaire photovoltaïque et les centrales solaires thermodynamiques, qui sont incluses dans la production 2019 pour environ 12 TWh dont 4,5 TWh aux États-Unis, 5,7 TWh en Espagne, 1,55 TWh en Afrique du Sud et 0,2 TWh aux Émirats arabes unis (voir Liste des centrales solaires thermodynamiques). La corrélation entre le PIB et la consommation intérieure des pays n’est pas parfaite, les points du graphique n’étant pas complètement alignés sur la droite de tendance et formant un nuage statistique assez étalé. Il faudrait enfin oublier toute velléité d'exploiter les réserves d'énergies fossiles découvertes en Arctique et s'interdire d'accroître l'exploitation du pétrole non conventionnel (schiste bitumineux, huile de schiste, …)[29]. Les quatre principaux pays producteurs regroupent 64,8 % du total mondial. En juin 2018, Miguel Arias Cañete (commissaire européen à l'énergie) a annoncé que l'Union européenne (1er importateur d'énergie fossile dans le monde) a annoncé un objectif de diminution de près d'un tiers sa consommation d'énergie avant 2030 (−32,5 % soit −0,8 % d'économie par an), mais l'objectif est non-contraignant. Dans les pays riches, la croissance a désormais lieu sans augmentation de la consommation d’énergie. Cette rubrique présente des données, des statistiques et des analyses sur la consommation d'énergie des ménages. Cette statistique ne prend pas en compte les énergies auto-consommées (bois, pompes à chaleur, solaire thermique, etc. Les auteurs y ont réunis toutes les séries chronologiques connues sur la production de houille, lignite (browncoal), gaz naturel, pétrole brut et électricité, en unités spécifiques puis en tonnes équivalent charbon (tec). La Chine, exemple des nouveaux pays industrialisés, a vu sa consommation d’énergie plus que tripler de 1990 à 2008. La consommation de gaz dans le processus de production des métaux, également. Par exemple, considérant un rendement de 38 %, on a 1. électricité produite par une centrale nucléaire : coefficient de 33 % ; électricité produite par une centrale géothermique : coefficient de 10 % ; toutes les autres formes d’électricité : méthode théorique, ou méthode du contenu énergétique qui revient à utiliser un coefficient de conversion de 100 %. En 2018, ces émissions étaient produites pour 44,0 % par le charbon, 34,1 % par le pétrole, 21,2 % par le gaz naturel et 0,7 % par les déchets non renouvelables[s 4] ; par secteur en 2017, 46 % étaient issues de l'industrie de l'énergie (surtout lors des transformations : production d'électricité et de chaleur : 41 %, raffinage, etc. … Selon l'AIE, les engagements individuels des pays à la Conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques (COP21) sont largement insuffisants : ils ne feraient que ralentir la progression des émissions de CO2 et mèneraient à une hausse des températures de 2,7 °C en 2100. Cette statistique ne prend pas en compte les énergies auto-consommées (bois, pompes à chaleur, solaire thermique, etc. En effet nous considérons l'énergie qu'il aurait fallu dépenser dans une centrale thermique d'un rendement de 38 % pour produire cette énergie électrique. Ces objectifs pourraient éventuellement être revus à la hausse en 2023, mais il « restera dans les livres d'histoire comme une opportunité manquée malgré les meilleurs efforts du Parlement européen et de plusieurs Etats membres progressistes » juge Imke Lübbeke du WWF (citant l'Italie et l'Espagne qui ont poussé à plus d'ambition)[23]. La liste ci-dessous, tirée des statistiques de l'AIE, ne prend en compte que les pays de plus de 50 millions d'habitants ainsi que les pays européens de plus de 10 millions d'habitants ; les statistiques de l'AIE englobent la quasi-totalité des pays du monde. L’analyse statistique confirme une corrélation forte entre la consommation d’énergie et le PIB. Évolution des énergies renouvelables de 1990 à 2017 en France : + 70 %. Les 4 premiers producteurs de 2019 regroupent 41 835 tonnes, soit 78 % du total mondial. Or Christophe McGlade et Paul Ekins, chercheurs à l'UCL (University College de Londres), soulignent dans la revue Nature que pour aboutir à ce résultat, il faudrait que globalement, les pays s'abstiennent d'extraire un tiers des réserves de pétrole, la moitié des réserves de gaz et plus de 80 % du charbon disponibles dans le sous-sol mondial, d'ici à 2050. Exemple. En 2016, pour la première fois, les investissements mondiaux dans le pétrole et le gaz sont tombés au-dessous de ceux dans l'électricité ; ils ont baissé de 38 % entre 2014 et 2016 ; les investissements bas carbone dans la production et le transport d'électricité ont progressé de 6 %, atteignant 43 % des investissements totaux dans l'énergie ; les investissements dans le charbon ont chuté d'un quart en Chine ; les mises en service de centrales charbon ont baissé fortement de 20 GW au niveau mondial, et les décisions d'investissement prises en 2016 sont tombées à 40 GW seulement ; dans le nucléaire, 10 GW ont été mis en service mais seulement 3 GW ont été décidés. Malgré des difficultés méthodologiques principalement dues à la mesure des productions nationales en dollars US, cet indicateur d’intensité énergétique permet de mettre en évidence le besoin d’énergie des économies en voie de développement. kbblep/j = milliers de barils équivalent-pétrole par jour. La différence peut être faible pour l'industrie des hydrocarbures par exemple, dont le rendement est dans certains cas proche de 1 (par exemple, pour une tonne brûlée dans un moteur d'automobile, on n'a eu besoin d'extraire qu'à peine plus d'une tonne d'un puits de pétrole saoudien ; ce n'est néanmoins pas le cas pour les gisements offshore profonds, les pétroles lourds, le gaz de schiste voire les bitumes canadiens dont le rendement de production peut être le facteur limitant leur exploitabilité - indépendamment du prix). L'UE veut aussi renforcer l'accès pour tous à l'information individuelle sur nos consommations d'énergie (dont pour le chauffage collectif, la climatisation et l'eau chaude). Voir : C… Joe Biden : la réintégration des États-Unis dans l’accord de Paris, et après ? Dans les pays pauvres, la relation entre consommation et PIB est controversée et pourrait être due à la mauvaise connaissance des consommations exactes. Les 4 premiers pays concentrent 53,5 % des réserves. Énergie primaire et énergie finale en France : quelle différence ? Echanges d’électricité dans le Monde L’énergie électrique, de par sa flexibilité d’utilisation, ses réseaux de distribution, la diversité de ses applications, est la forme d’énergie dont la consommation mondiale s’est développée le … Au niveau mondial, les émissions de dioxyde de carbone (CO2) dues à l'énergie en 2018 sont estimées par l'AIE à 33 513 Mt, en progression de 117 % depuis 1973, dont 44,0 % produites par le charbon, 34,1 % par le pétrole et 21,2 % par le gaz naturel ; par secteur en 2017, 37 % étaient issues de l'industrie, 25 % des transports, 16 % du secteur résidentiel et 10 % du secteur tertiaire. Il s'inscrit dans le cadre de l'accord de Paris (−40 % de GES émis d'ici 2030 pour l'UE) et du troisième volet du paquet « Énergie propre » proposé par la Commission fin novembre 2016. Sa répartition par secteur était : industrie 29 %, transports 29 %, résidentiel 21 %, tertiaire 8 %, agriculture et pêche 2 %, usages non énergétiques (chimie, etc.) La consommation mondiale d' énergie primaire a encore reposé à 81,4% sur les énergies fossiles en 2015 selon les dernières données de l’AIE. conversion des productions électriques. Le classement est fondé sur la production 2019. Mais elle est aussi un effet tendanciel des progrès technologiques et du jeu naturel des prix des énergies fossiles, indépendants des mesures contraignantes ou indicatives de ces programmes. En revanche, la différence est très importante si ce carburant est converti en énergie mécanique (puis éventuellement électrique), puisque le rendement de ce processus est au maximum de l'ordre de 40 % (p. négociations internationales sur le climat, Conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques, préfixes du Système international d'unités, Statistiques de production mondiale d'électricité, Liste des pays par production d'énergie nucléaire, Statistiques mondiales de production et puissance installée éolienne, Statistiques mondiales de production solaire photovoltaïque, Liste des centrales solaires thermodynamiques, Production mondiale d'énergie géothermique, Statistiques mondiales relatives aux réseaux de chaleur, Liste des pays par émissions de dioxyde de carbone par habitant, Institut national de la statistique et des études économiques, Potsdam-Institut für Klimafolgenforschung, BP Statistical Review of World Energy 2020 - 69th edition, Statistical Review of world energy - all data, BP Statistical Review of world energy - all data, « L’énergie solaire représente un potentiel équivalent à vingt fois la consommation mondiale annuelle » explique Isabelle Kocher, directrice générale d'Engie, Climate Change 2014 - Chapter 7 : Energy Systems, Le cas de l'hydroélectricité (World Atlas publié en 1997 par la revue "Hydro Power and Dams". La satisfaction des besoins peut être directe, si l’énergie est consommée par un être humain au cours d’un usage domestique (se chauffer, travailler sur son ordinateur, se déplacer en voiture), ou indirecte si elle est utilisée dans la production de biens ou de services destinés à la consommation humaine. Comment ont évolué, depuis, 1800, la consommation des grandes sources d’énergie primaire ? Évaluation du potentiel éolien technique mobilisable réalisée en 2003 par le Conseil consultatif allemand sur le changement global (WBGU). À notre connaissance, le seul annuaire statistique couvrant tous les pays du monde, sur une période sensiblement la même (1800-1985) que celle retenue ici, est celui qu’ont dirigé Paul Bairoch et Jean-Claude Toutain. L’augmentation découle notamment de la reprise du fret ferroviaire : + 13,9% , puis -6,7% en 2010. Le graphique ci-dessous montre que l’intensité énergétique du monde diminue de 1% par an environ, ce qui est une amélioration de l’efficacité de l’usage de l’énergie : on produit plus avec moins d’énergie. consommation d’énergie primaire. Bois Énergie : 39,6 %. Selon le Dr Fatih Birol, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie, « les renouvelables font de très grands progrès sur les prochaines décennies mais leurs gains restent largement confinés à la production d'électricité. Répartition de la consommation Les différentes filières de production d’électricité dans le Monde 4. Ces énergies primaires sont transformées en énergies secondaires : produits pétroliers raffinés dont les carburants automobiles, électricité… Cette transformation d’une énergie en une autre se fait toujours — c’est une loi fondamentale de la physique — avec une perte d’énergie, si bien que la transformation d’une énergie primaire en énergie secondaire «  consomme de l’énergie primaire ». Le ratio entre l’énergie secondaire produite et l’énergie primaire utilisée s’appelle le « rendement » de l’unité de transformation d’énergie. Les énergies fossiles représentaient 81,3 % de cette production (charbon : 26,9 %, pétrole : 31,6 %, gaz naturel : 22,8 %) ; le reste de la production d'énergie provenait du nucléaire (4,9 %) et des énergies renouvelables (13,8 %, dont 9,3 % de la biomasse, 2,5 % de l'énergie hydraulique et 2 % d'autres EnR)[s 1] ; la biomasse comprend le bois énergie, les déchets urbains et agricoles, les agrocarburants ; les autres EnR comprennent l'énergie éolienne, l'énergie solaire, la géothermie, etc. Réserves minières d'uranium prouvées. 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 11 628, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 1,428 6, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 1 000, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 7,33, la méthode théorique ou « énergie finale » : on calcule simplement le nombre de tep selon l'équivalence physique en énergie, la méthode de « l'équivalent à la production » ou « méthode de substitution », qui indique le nombre de tep nécessaires à la production de ces kWh. Cette amélioration de l’efficacité énergétique est souvent attribuée à la pression politique sur les agents économiques liée aux programmes nationaux, régionaux ou mondiaux de lutte contre le réchauffement climatique. La part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique de la France a progressé d’environ 4 points sur les dix dernières années (7,8 % en 2009). (©photo). Part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie en France en 2017 : 16,3 %. L’évolution de la consommation dans le monde. Les émissions de gaz à effet de serre (dioxyde de carbone, méthane, etc.) Evolution de l'intensité énergétique et de l'intensité-carbone (©Connaissance des Énergies, d'après source : Energy Independant Agency). Mais la consommation de charbon utilisé dans les centrales électriques ne l’est pas, c’est l’électricité produite par les centrales qui l’est. Plus de la moitié de cette demande supplémentaire proviendrait des pays asiatiques en cours de développement. Les énergies renouvelables sont par définition « inépuisables à l'échelle du temps humain »[14]. Dans le secteur des transports, l’augmentation de la consommation en 2011 se démarque des baisses de ces dernières années (-1,1 % en 2009, -0,8% en 2008). Les émissions de CO2 par habitant en 2018 sont estimées à 4,42 tonnes dans le monde, 15,03 tonnes aux États-Unis, 8,40 tonnes en Allemagne, 4,51 tonnes en France, 6,84 tonnes en Chine, 1,71 tonnes en Inde et 0,98 tonnes en Afrique. La présentation d’une consommation d’énergie “mondiale” est trompeuse. La production et la consommation d’énergie sont au cœur d’enjeux scientifiques mais également économiques et politiques. Evolution de la consommation d’énergie finale mondiale de 1971 à 1997 répartie par région. Le rapport annuel 2018 de l'Agence internationale de l'énergie sur l'évolution prévisible de la production d'énergie prévoit une croissance de plus de 25 % de la demande totale d'énergie d'ici 2040, tirée notamment par l'Inde et les pays en développement. La consommation 2011 fut au même niveau qu’en 2002. Des données annuelles de consommation par usage sont également diffusées. La consommation globale d’énergie a doublé depuis 40 ans. Enfin, dans les pays intermédiaires, dont la Chine et l’Inde, l’appétit pour les produits de confort fait croître la part de la consommation résidentielle dans le total (hors production exportée), malgré le coût relatif élevé de l’énergie. Cependant certains (surtout dans les pays d'Europe du Nord) prennent l'habitude d'utiliser des multiples de l'unité officielle et il n'est pas rare de trouver des péta voire des yotta-joules (péta et yotta sont des préfixes du Système international d'unités) pour mesurer l'énergie produite à l'échelle du monde[n 1]. Les combustibles fossiles totalisent 83,8 % du total et les énergies renouvelables 11,0 % ; si les énergies renouvelables thermiques étaient prises en compte, la part des renouvelables serait beaucoup plus importante : ainsi, dans les statistiques mondiales de l'AIE, la catégorie « biomasse et déchets » représente 9,3 % de l'énergie primaire consommée en 2018[s 1] ; on peut en déduire qu'au total, les énergies renouvelables couvrent environ 20 % des besoins mondiaux en énergie. En Europe, elles ont reculé de 3,2 % au total, dont 6,5 % en Allemagne, 2,6 % en France, 2,5 % au Royaume-Uni, 2,0 % en Italie, 5,2 % en Espagne[p 15]. Or, la combustion de toutes les réserves prouvées de pétrole, charbon et gaz de la planète engendrerait 2 795 gigatonnes de CO2, soit cinq fois plus. Il vise l'indépendance énergétique de l'Europe, mais doit ensuite être approuvé par les États membres et les eurodéputés qui étaient plus ambitieux (−35 % par rapport au niveau de 1990). L'évaluation de leur potentiel se fait donc non en termes de réserves, mais en considérant le flux énergétique potentiel que peut fournir chacune de ces sources d'énergies. Afin de mieux mettre en évidence le comportement de consommation d’énergie finale des pays ou groupes de pays et leur tendance longue, les économètres se réfèrent à « l’intensité énergétique » exprimée en unités d’énergie consommée par unité monétaire de PIB, donc de production intérieure au pays. Dans le domaine des ressources et consommation énergétiques mondiales, les unités énergétiques sont souvent préfixées pour indiquer des multiples : Quelques coefficients de conversion entre familles d'unités : Les flux d'énergie, depuis l'extraction minière de combustibles fossiles ou la production d'énergie nucléaire ou renouvelable (énergie primaire), jusqu'à la consommation par l'utilisateur final (énergie finale), sont retracés par les bilans énergétiques. Intensité énergétique pour le monde en unités d’énergie consommées par $ US de PIB (©Connaissance des Énergies, d'après source : Energy Independant Agency). La production hydroélectrique varie fortement d'une année à l'autre en fonction des précipitations : ainsi, la production brésilienne a connu en 2011 un record de 428,3 TWh, suivi d'une série d'années sèches avec un minimum de 359,7 Mtep en 2015 (−16 %), malgré la mise en service de nombreux barrages dans l'intervalle ; la production des États-Unis a connu un bond de +23 % en 2011 suivi d'une chute de −13 % en 2012. Abonnez-vous gratuitement aux newsletters, Consommation d'énergie finale dans le monde. Celles-ci sont environ 2 fois plus gourmandes en énergie par dollar que la moyenne mondiale. Croissance de la consommation énergétique Les données de la compagnie pétrolière BP montrent qu’entre 1859 et 1968, donc en 110 ans, la consommation cumulée de pétrole fut de 200 milliards de barils. Elle ne l’est pas pour le groupe des pays à faible revenu et ne l’est pas non plus pour les pays à haut revenu. Les économies anciennement développées sont contrastées : autour de la moyenne comme les États-Unis ou très inférieures à la moyenne comme en Europe. Au total, les réserves ultimes (ressources) atteindraient 11 576 kt. - 80% de l'énergie consommée vient des énergies fossiles (pétrole et charbon) - C'est ce qui émet le plus de GES - Augmentation à cause de la mondialisation et l'industrialisation réchauffement climatique = impacts sur le climat, les écosystèmes, l'agriculture, la fréquence et La consommation finale d'énergie Il est prévu que la croissance de la consommation finale d'énergie se situe aux alentours de 2 % par an avec un secteur qui évoluerait plus que les autres : les transports (de l'ordre de 2,4 % par an) ; la part de ce secteur dans la consommation finale devrait passer de 28 % en 1997 à 31 % en 2020 (WEO). On voit, sur le long terme, qu’il est l’effet de quatre tendances lourdes : A ces 4 tendances, se rajoute une cinquième : la volonté politique d’agir contre le réchauffement climatique (COP21) par un contrôle des émissions de gaz à effet de serre, c’est à dire, de façon dominante, le dioxide de carbone dégagé par la combustion des énergies fossiles et de la biomasse. Plusieurs déterminants de la consommation d'énergie ont été identifiés. La durée potentielle d'utilisation de l'énergie nucléaire pourrait se compter en siècles grâce aux filières de surgénération et en millénaires avec celle de fusion nucléaire, et le potentiel exploitable de l'énergie solaire est estimé à vingt fois la consommation mondiale annuelle. Notons toutefois que la consommation d’énergie par habitant de l’Inde devrait alors encore rester 40% en dessous de la moyenne mondiale en 2040. Pour cela la législation sur la construction des bâtiments et sur les énergies renouvelables a été précisée et l'UE envisage de pousser à améliorer l'efficacité énergétique des appareils électro-ménagers et des chauffe-eau. Pour permettre la consommation finale de ces 9 milliards de tep, il a fallu « produire » près de 13,4 Gtep d’énergie primaire, comprenant notamment l’énergie utilisée pour transformer les ressources initiales. Le développement des énergies renouvelables hors hydroélectricité a été particulièrement important (+ 16,6%) mais celles-ci ne comptaient encore que pour 3,5% de la consommation d’énergie primaire dans le monde en 2017. Dans le monde, la consommation de charbon utilisée pour produire de l’électricité croît au même rythme que la consommation globale d’électricité (2,8 %/an versus 3 %/an entre 2000 et 2017). Conventions de conversion : Pour les énergies qui sont transformées en électricité (uranium, hydraulique, éolien, solaire), la conversion en unité de base (Gtep) est réalisée en termes d'équivalent à la production. Le classement est fondé sur la production 2019. La consommation d'énergie finale dans le monde a atteint 8 979 Mtep en 2012 . En résumé, la consommation d’énergie finale est égale à la consommation d’énergie primaire moins toutes les pertes d’énergie au long de la chaîne industrielle qui transforme les ressources énergétiques en énergies utilisées dans la consommation finale. Au Néolithique, entre 9000 et 3300 ans avant notre ère, les hommes commencent à cultiver la terre et domestiquent des animaux qui, pour certains, devienn… La gestion de l'énergie. Dans le cadre des négociations internationales sur le climat, tous les pays se sont engagés à maintenir la hausse des températures en deçà de 2 °C par rapport à l'ère préindustrielle. R/P (années de production) = Réserves/Production 2019. La diminution de la part de l’alimentation dans le budget total de la consommation provient du fait que la consommation d’alimentation a moins augmenté en volume que les autres catégories de biens et de services (1,4 %) alors que la consommation totale par habitant a augmenté en volume de 2,5 % par an. La consommation par habitant en Chine est maintenant égale à la consommation par habitant dans le monde. Consommation énergétique selon le type d'énergie utilisé, Consommation finale d'énergie des principaux pays, Part de l'électricité dans la consommation finale d'énergie, « les soutiens publics restent nécessaires pour prolonger les baisses de coût, faciliter les investissements ou compenser les défaillances de marché ».

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